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 Nouvelle critique Rocky Balboa

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sly14
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sly14


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MessageSujet: Re: Nouvelle critique Rocky Balboa   Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 Icon_minitimeDim 28 Jan 2007 - 1:31

on va arretez la sur notre ami lorenzo et se reconcentrez sur le sujet ..
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MessageSujet: Re: Nouvelle critique Rocky Balboa   Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 Icon_minitimeDim 28 Jan 2007 - 2:51

ce qui est frappant,c'est que ce film traverse les générations

Dans la salle,j'ai vu des jeunes de 12 ans,de 20,des quadras,des quinquas.

En sortant,j'ai vu dans la file d'attente de la séance suivante des personnes agées comme des jeunots.

Rocky transcence les époques et les générations,c'est donc une vraie légende
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MessageSujet: Re: Nouvelle critique Rocky Balboa   Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 Icon_minitimeDim 28 Jan 2007 - 12:49

Cobretti a écrit:
ce qui est frappant,c'est que ce film traverse les générations

Dans la salle,j'ai vu des jeunes de 12 ans,de 20,des quadras,des quinquas.

En sortant,j'ai vu dans la file d'attente de la séance suivante des personnes agées comme des jeunots.

Rocky transcence les époques et les générations,c'est donc une vraie légende
tout a fait au fait marion tu as quel age ? c'est pas indique sur ton profil
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Sly
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MessageSujet: Re: Nouvelle critique Rocky Balboa   Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 Icon_minitimeDim 28 Jan 2007 - 12:53

de retour pascalou,alors ton avis sur le film.?!
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MessageSujet: Re: Nouvelle critique Rocky Balboa   Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 Icon_minitimeDim 11 Fév 2007 - 22:18

Nouvelle critique Rocky Balboa - Page 7 2979054907 voici ine superbe critique:Critique de film par McClane, le 02.02.2007 de mad movies.

Depuis l’échec retentissant de Daylight en 1996, Stallone n’a eu de cesse de s’enfoncer, à la fois artistiquement et commercialement (si l’on exepte le formidable Copland) dans des projets improbables ; soit dans des tentatives ratées de revenir vers le type de personnages qui ont fait sa gloire (Driven, Get Carter), soit dans des navets totalement honteux (Mafia Love, Compte à Rebours Mortel). Revenir dans ces conditions vers le personnage qui lui a ouvert les portes d’Hollywood pouvait par conséquent légitimement se voir comme une tentative désespérée de la star déchue de revenir vers le succès, d’autant que la perspective de revoir Rocky sur le ring à 60 ans s’annonçait franchement embarrassante. Mais le trailer définitif balaya les doutes des plus réfractaires avant même la sortie du film : le sixième volet de la mythique saga Rocky sera une tuerie ou ne sera pas, un adieu grandiose d’un des personnages les plus attachants et fédérateurs de l’histoire du 7ème Art en même temps qu’une parabole bouleversante sur la vie de son créateur. Comme prévu, à l’arrivée, la magie opère.



L’objet de culte qu’est devenu le personnage de Rocky Balboa à travers le monde entier explique largement l’engouement créé autour du film. Car quelle autre figure cinématographique les spectateurs iraient-ils voir remonter sur le ring la soixantaine approchant ? Aucune, car l’essence même de l’icône créée par Sylvester Stallone est son son cœur. Si Rocky a atteint les plus hautes cimes du monde de la boxe, c’est non pas grâce à un talent inné de combattant, mais grâce à son courage le poussant à tenir coûte que coûte, quitte à encaisser l’équivalent de missiles skud sur la tête (à ce titre, il est intéressant de constater à quel point Stallone a eu le visage en sang dans les différents chapitres de la saga, à une époque où le mythe du héros indestructible était pourtant dominant). C’est cette volonté de fer de prouver aux autres et à lui-même qu’il n’était pas un tocard qui l’a mené là à remporter les challenges les plus ardus. Et quel plus grand défi que celui de remettre les gants à un âge où l’on s’approche plus de la maison de retraite que des rings ? C’est sur cette base qu’est construit ce sixième volet de la saga des Rocky. Conscient que pour offrir à son personnage fétiche une sortie digne de ce nom, il doit retourner aux sources de la franchise, Stallone revient logiquement au premier épisode. Un choix d’autant plus logique que l’analogie entre ce que Stallone/Rocky étaient à leurs débuts et sont aujourd’hui est évidente. Les clins d’œil au film de John G. Avildsen sont donc légion, s’insérant parfaitement dans le récit tout en titillant la fibre nostalgique du spectateur : la chanson du générique de début, entonnée par des zonards en bas de l’immeuble de Rocky en 1976, la présence de Spider Rico, le jogging avec son chien le menant au sommet des marches du Palais des Arts de Philadelphie, l’entraînement dans la chambre froide… Plus que des clins d’œil au premier film, ces scènes symbolisent parfaitement le retour au point de départ de Rocky Balboa et de Sylvester Stallone, qui doivent repartir prouver au monde (et avant tout à eux-même) qu’ils ne sont pas condamné à vivre avec leur souvenirs. Même la storyline du premier est reprise dans les grandes lignes : le champion du monde poids lourd propose un combat à Rocky, censé perdre facilement. Mais pour lui, ce combat va se transformer en véritable baroud d’honneur, pour se prouver qu’il n’est pas condamné à jouer les seconds rôles. Avec ce combat-ci , Rocky ne vise pas la victoire, la conquête du titre ou l’honneur de la patrie, mais tenir jusqu’au bout du match quand les autres prévoient qu’il s’effondrera vite. Même but, époque différente : Stallone boucle la boucle grâce à un scénario extraordinaire, aux dialogues magnifiques et à la thématique bouleversante, effectuant des allers-retours entre cet épisode et le premier sans pour autant tomber dans la redite.

Car contrairement au premier, le boxeur qui va défier Rocky n’est pas un champion aguerri de la trempe d’Appolo Creed, mais un jeune boxeur, Mason Dixon, terriblement talentueux mais dénué du courage qui a fait la renommée de Rocky. Le film n’en fait pas d’ailleurs un adversaire monolithique, comme aurait pu le faire croire la bande annonce. Dixon est lui-même en pleine crise d’identité lorsque après une victoire trop facile, les critiques s’abattent sur lui et sa tendance à choisir la voie de la facilité avec ses adversaires (ce qui était le point de départ de Rocky 3 : L’œil du Tigre). Il est évident avec ce film que Stallone a non seulement voulu jeter un regard sur sa vie, mais conscient de l’impact du personnage sur toute une frange de la population, a voulu donner une leçon de vie aux jeunes générations. Outre Dixon, deux autres jeunes bénéficieront de l’influence bienveillante de Rocky : son propre fils, Robert, qui préfère l’éviter, et Stepps, le fils de la petite Marie, la gamine à qui Rocky faisait la morale dans le 1. Si Stepps suivra volontairement les leçons de Rocky, qui le prendra sous son aile car il se reconnaît en lui, son fils devra réaliser que ses frustrations sont dûes à ses choix de vie, et non pas à l’aura de son père (on sent d’ailleurs qu’une sous-intrigue sur la rivalité entre Stepps et Robert a été supprimée au montage). Quant à Dixon, il ne peut prétendre entrer dans la légende de ce sport car il n’a jamais été malmené au point de donner tout ce qu’il a. Cette leçon de vie, Rocky va lui proposer en se jetant à corps perdu dans le combat. A ce titre, il est fascinant de voir avec quelle humilité Stallone accepte son âge : lent, empoté, un peu balourd, le Rocky 2006 n’est clairement plus celui de 1976, mais son punch reste intact. Par conséquent, le voir s’accrocher de round en round, inférieur physiquement à son adversaire, constitue déjà un des (pour ne pas dire le) moment fort de la saga : rarement le courage, l’honneur auront été aussi bien retranscrit dans un combat, magnifié par la réalisation de Stallone, nous faisant partager tous les coups que reçoit son personnage.



Avec Rocky Balboa, Stallone redevient tel que l’on l’a toujours aimé : humain, cette humanité qui transpire de tout son être. Stallone l’acteur n’a jamais été aussi bouleversant : un visage marqué par la vie, un regard transperçant d’humanité. Il faut le voir éclater en larmes face à Paulie, ou déclamer ses répliques comme si sa vie en dépendait, pour mesurer à quel point son cœur bat dans ce film. Il serait aisé de rapprocher sa démarche de celle d’un Clint Eastwood avec Impitoyable, mais ce n’est pas seulement sur sa figure filmique que Stallone jette un regard, c’est sur sa vie, ses choix, ses doutes, « sa cave » comme il le dit dans le film. Toute sa démarche culmine vers ce plan criant de vérité (au point que l’on se demande si ce n’est pas Stallone qui l’a improvisé dans un ultime lapsus révélateur), bouleversant jusqu’à faire pleurer : celui ou Rocky, à l’issue du combat, se retourne une ultime fois vers le public pour sa dernière ovation. En tous cas, une chose est sûre : pour la dernière apparition du boxeur de Philadelphie à l’écran, Stallone vient d’offrir à Rocky Balboa une sortie par la plus grande des portes.

Note : 5/6

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