Nouvelle critique Rocky Balboa

Critique Rocky Balboa du 13 Décembre, n'ayez pas peur de la lire on ne révèle rien du film, enfin pas grand chose.
Bonne et mauvaise critique.

Source: http://www.cinemovies.fr/news_fiche.php?IDtitreactu=3825


" En attendant le flot de remakes et autres suites à venir en 2007, Rocky Balboa met un point final à tout un mythe. Les passionnés trouveront dans cet ultime chapitre de quoi boucler une oeuvre. Sylvester Stallone rend hommage à Rocky, personnage qui fut à l'origine de toute sa carrière.


Pour une fois, on commencera par la fin. Une fin qui résume à peu près toute la logique d'un sixième épisode, improbable sur le papier, mais qui, avouons-le au final, ne parjure en rien le culte de l'Etalon italien. Mieux, on ira même jusqu'à dire qu'il clôt de façon surprenante tout un mythe (avant que nous modérions quelque peu notre enthousiasme). Ainsi, au générique de fin de Rocky Balboa, le réalisateur-comédien a tenu à ce que grands et petits, familles ou célibataires, sportifs ou gras du bide, tous mélangés, gravissent l'interminable escalier du Philadelphia Museum of Art à la manière du tout premier Rocky, avec les bras levés au ciel arrivé au sommet. Bien plus que le symbolique "Je crois, donc je peux" - qui fut le leitmotiv de tous les épisodes et surtout de cet ultime à sortir en ce mois de janvier 2007 -, cette anecdote rapportée aux "Rocky Steps" (nom donné par la municipalité de Philadelphie aux imposantes marches en hommage au héros) symbolise l'attachement décalé de tout un public américain, voire planétaire.

Sly exécute ici un baroud d'honneur façon retour à la case départ. Le spectateur ne sera donc pas surpris de voir défiler à l'écran, et dans l'ordre, tous les adversaires historiques du boxeur (Apollo Creed, Cluber Lang, Ivan Drago), sans oublier ses entraîneurs (Mickey, Duke), ses amis fidèles dont l'inaltérable Paulie incarné par Burt Young, sans oublier cet hommage appuyé à Madame Balboa, la fameuse Adrian, aka Talia Shire (absente de ce dernier tome pour cause de décès cancérigène, dixit l'historiographie). Retour à la case départ, donc, pour un champion devenu presque grand-père, redevenu héros solitaire, incompris de sa progéniture, errant dans les rues. Seul, oui, mais toujours adulé par les foules. Et c'est ce qui fera toute l'intrigue. Tiré au sort par on ne sait quel logiciel informatique farfelu, la foule réclame le combat du siècle. Rocky, sportif historique du noble art, se doit de remonter sur le ring pour affronter le champion des années 2000, alias Mason Dixon (réel boxeur professionnel dans le civil qui dût prendre du poids pour les besoins du film). Si l'on a longtemps douté de la véracité de ce Rocky VI (incroyable de l'écrire !!!), reconnaissons encore que tout ce déballage de bons sentiments tient bon la route (tout du moins, dans le déroulement de son intrigue). Remonter sur le ring à presque 55 balais, fallait le faire. Vendons la mèche, c'est pour un combat exhibition. Enfin, exhibition, pas tout à fait ! Faudra quand même aller voir le film pour tout savoir. Et oui, pour Rocky, les challenges ne manquent jamais dans la vie (encore un précepte). Aujourd'hui, puisque "un boxeur, ça boxe" (haute philosophie extraite du film), Balboa regagnera, une fois encore, et par les poings, la confiance de son entourage, de lui-même (au travers de la petite Marie devenue joli brin de femme), et surtout l'estime de son fils - cadre supérieur de la finance mécontent de sa vie dorée. Entre l'argent et le bonheur, faudra choisir.


Comme on le décrit depuis le début, vous aurez compris que ce dernier Rocky (promis, juré, craché) lorgne, toutes orbites dehors, du côté du premier, réalisé en 1977 par John G. Avildsen. Rocky Balboa se la joue caméra à l'épaule, sans flashs ni steady cam, ni plans hollywoodiens. Non, Sly prend le parti de l'épure, genre proche du citoyen lambda, comme son personnage. A voir notre Rocky se mêler à la foule, à déambuler dans la ville, on entendrait presque Bruce Springsteen nous fredonner "Streets of Philadelphia". Couleurs dans l'image mais noirs dans l'esprit, un brin mélancolique de tout ce temps qui a passé, Rocky regarde derrière pour trouver la force de vaincre les défis du troisième âge. Le vrai traumatisme du film est bel et bien le physique déliquescent de notre Sylvester Stallone chéri. Durant son combat avec Antonio Tarver, on se serait presque amusés à compter les veines saillantes gonflées aux hormones. Il y a quelques mois, la presse mondiale s'était faite l'écho d'un accident intervenu durant le tournage. Sylvester, ayant ramassé une mauvaise pêche, serait allé tout droit au tapis. Rocky se déhanche toujours aussi mal, mais la beauté plastique dégouline. Là, on touche le pathétique, bien plus qu'avec les grandes idées téléphonées du légendaire Sly. Dans Rocky Balboa, on s'en taperait presque le ventre d'ailleurs. Cependant, on le sait, les mauvaises boutades font parties du personnage. Conscient des pics que ses détracteurs lui ont toujours lancé, Stallone s'en est-il amusé ? Dans la salle de projection, tout du moins, quelques uns rirent même aux éclats. Et de la mièvrerie, vous allez en bouffer messieurs dames. Autant que des remakes et autres suites à n'en plus finir en 2007 ! Rocky Balboa ouvre le bal.

Alors, avec l'ancien, on sera cléments, contents d'en finir avec ce dernier chapitre faisant bien plus honneur au Dieu de la boxe qu'un précédent épisode totalement insipide. Car Rocky, vrai, c'est un peu de notre histoire à tous : la crise économique de la fin des 70's, le nouvel élan victorieux de l'Amérique à Reagan, l'Ouest faisant la guerre à l'Est par le sport. Et du sport, parlons-en ! Quelques vrais champions se sont glissés dans Rocky Balboa ! Au spectateur de les dénicher ! Quant aux fatigués, réellement réfractaires au Stallone, qu'ils se rassurent, un Rambo IV devrait sortir dans les prochains mois, et il est dénommé The Serpent's Eye (après, l'Oeil du Tigre, logique !)... "

Reynald Dal Barco


Source: http://www.cinemovies.fr/news_fiche.php?IDtitreactu=3825

Guère réjouissant....

bais si moi je trouve que ca va, fo pas trop lire la deuxième critiques c'est pas très objectif c'est fit par des casseurs anti-stallone...

slt

merci pour cette critique mi figue mi raisin !!!! je suis surpris de la vision qu ils ont du corp de sly il a 60 ans moi qui pousse de la fonte j aimerai bien etre comme lui a son age ,je boss dans un hopital et je peut vous dire que je voit des gens de 60 ans et meme plus jeune qui sont dans un etat !alors je sais pas c est peut etre de la jalousie enfin...... ce ci est un autre debat !!!

Non mais c'est vrai que si on est honnete, c'est clair que le corps de sly a 60 ans est bien pour son age par rapport a d autre mais c est vrai que moi aussi lorsque j ai vu els photos, j ai aussi été un epu choqué de voire tooute ces vaines qui ressorte...Sly est musclé ca oui mais son corps n est pas magnifique

Je l'avais dejà lu.
Pour la qualité du film,je m'en fais pas trop,il n'y a pas que des bonnes critiques,c'est sur,comme tout films,mais la plupart sont tres positives.On se fera notre propre opinion.

de plus je pense que cette critique est l oeuvre d une personne donc pas de quoi s affoler

Quel connard celui qui a ecrit la critique!

N'importe quoi!
Surtout concernant le physique de sly!
Pff,surement quelqu'un qui n'aime pas les films de stallone!

tu aurai lu lés critiques sur rambo 2 en 1985,tu te cogne la tete contre lés murs,ce ne sont pas eux qui font le succés d un film..
si le film est bon rien de tel que le bouche a oreilles :Cocassin13:

Les réflections sur le physique de Sly sont limite.
On peut pas demandé a quelqu'un qui a 60 ans d'avoir le meme physique qu'un bodybuilder de 25 ans...
Pour son age,pour le personnage qu'il joue,je ne suis pas choqué,il est affuté et y en a pas beaucoup qui a 60 ans peuvent se venté d'avoir des abdos apparent.
Je ne pense pas non plus qu'il se doppe.

Le genre de critique que je n'aime pas. Le début fait croire à une critique sympa puis après il commence à casser Sly en douce jusqu'à la fin.

Cet auteur est un gros faux-jeton.

En ce qui concerne le physique de Sylvester Stallone, y'a pas à dire, c'est un physique énorme. Les veines, il y peut pas grand chose... Il a quand même 60 ans. Je ne m'attendais pas quand le tournage a commencé à ce qu'il ait pas les veines qui ressortent, c'est tout à fait logique. Y'a rien à redire sur son physique, d'ailleurs, les veines, c'est pas si gênant... On y fait même plus attention à part qques plans où c'est assez voyant, c'est pas vraiment visible. Et puis c'est pas moche... Non franchement, on s'en tamponne.

merci de l'article..

et ben, ça fait peur ..

Je ne vois pas où cette critique fait peur.

La seul chose qui ressort vraiment de négatif, c'est le physique de Sly qui peut choquer certaine personnes, mais bon, ça concerne si peu de gens et c'est si infime.
Le succés du film ne sera pas dû au physique de Sly, mais à la qualité du scénar.

ben.. si dans ce film "tout est previsible" comme le sous-entend
le mec qui fait cette critique .. bon ben j'espere que c'est juste
un anti-Stallone ..

sérieusement, faut pas nier qu'il y a un risque que nous sommes déçu
du film .. faut pas se cacher par "c'est Stallone donc c'est super" ..

enfin je pense ..

C'est vrai qu'ils se limitent à pas grand chose... Juger un homme de 60 ans sur son phisyque (qui en plus est phénoménal). Fo arreter...

Voila le genre de gas que je peux pas voir il commence comme si c'était une bonne critique et après il se met a critiquer et j'aimerai bien le voir lui quand il aura 60 ans

raison de plus pour ne pas etre inquiet,et encore moin sur le phisique que sly a dans le film :Cocassin13:

http://www.excessif.com/news.php?18106
La bave me monte aux lèvres !

amorynesles a écrit:

http://www.excessif.com/news.php?18106
La bave me monte aux lèvres !

Merci beaucoup, Je crois que je vais devenir fou là ...


faites gaffe a juste un truc dans cette critique nikel, on y apprend ce que dit paulie à rocky juste avant le baiser.

alors ceux qui veulent pas savoir, soyez vigilant.

mais lisez la, car ca va vraiment, vraiment , vraiment vous mettre de bonne humeur !

genial cette critique j avais des frissons en la lisant

Et bien ils ont changé leurs fusil d'épaule, leurs dernière critique avait été acerbe au sujet de ce dernier opus et là il font une critique plus constructive et un peu plus élogieuse, qui donne encore plus envie d'aller voir le film. Vraiment vivement Janvier.

http://www.kweb.be/index.php?option=com_content&task=view&id=484&Itemid=2
ATTENTION !!!
Ca révèle la fin à demi-mots !

alors celle la pour une critique de merde c est une critique de merde :Cocassin11: encore un anti-stallone :boulet: :boulet: qui a rien compris a la philosophie de rocky balboa

Ca me fait rire , faut pas avoir peur comme ça , le film va etre excellent. On a vu quoi en tout critique americaine et françaises melangés ? 3-4 critiques negatives contre 25 critiques postitives...

L'autre critique est génial , en plus parait il que c'est un critique qui est tres dur avec les films à l'habitude...

toute façon il y a des jalous partout ...