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rien de neuf en tout cas

Sly a écrit:

en tout cas les affiches sont bien présentes sur paris, et les critiques beaucoup plus positives que pour "john rambo"

c'est toujours bon a prendre !

Tout à fait d'accord avec toi pour les critiques !

De plus, chez moi c'est la même chose, difficille de rater l'affiche du film... elle est sur la plupart des panneaux de pub et ça c'est cool !

dans le 06 aussi, ca c'est super titi !
mon boss a marseille ma dit que la pub été bien présente aussi, il semblerai que l'on soit plus gaté dans lés grandes villes

Sly a écrit:

dans le 06 aussi, ca c'est super titi !
mon boss a marseille ma dit que la pub été bien présente aussi, il semblerai que l'on soit plus gaté dans lés grandes villes

Que cela soit en ville ou sur le net (pages d'accueil, articles etc...), la pub est bien plus importante que pour les derniers Rocky et Rambo ! :thumright:

de plus le film touche un public plus large, les jeunes, les vieux comme moi lol
ce qui n'etait pas le cas pour "john rambo" trop ciblé..

terrible ! merci jox

Testostérone mardi24 août 2010
Sylvester Stallone, l’orgueil de barbarie
Thierry Jobin

Sylvester Stallone et Mickey Rourke dans «The Expendables»: grand-papa et grand-maman ne veulent pas aller à l’EMS. (Ascot Elite)
Sylvester Stallone et Mickey Rourke dans «The Expendables»: grand-papa et grand-maman ne veulent pas aller à l’EMS. (Ascot Elite)

Réunion de gros bras, «The Expendables» passe à côté de toutes ses promesses
Les liens

* Le site du film

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The Expendables est sorti en Suisse romande mercredi dernier. Et il est sans doute important de préciser d’emblée que si nous avons mis du temps avant de le voir et d’en parler, ce n’est pas par snobisme. Franchement, l’idée de Sylvester Stallone – réunir toutes les gloires, mêmes flapies, du cinéma d’action de ces trente dernières années – ne nous excitait pas moins que ces millions d’Américains qui se sont rués dans les multiplexes depuis sa sortie aux Etats-Unis.

D’autant que, depuis quelque temps, Stallone guérissait de la meilleure manière possible son passage à vide des années 1990 et 2000 (les recettes des lamentables Get Carter ou D-Tox ne couvraient même plus son cachet bloqué à 20 millions de dollars). Il s’était remis à écrire et à réaliser. Comme à l’époque de Rocky, des nominations aux Oscars 1977 (meilleur acteur et scénariste) et de la gloire. Et il avait fallu admettre que ses retours aux sources, avec l’émouvant Rocky Balboa en 2006 puis le furibard John Rambo en 2008, ne manquaient pas de panache.

The Expendables, donc. Avant même que le film ne commence, l’ambiance dans la salle, bien remplie pour un dimanche soir à 21h30, ne laisse planer aucun doute: Stallone va égaler voire dépasser des recettes qu’il ne connaissait plus depuis Rocky 4. C’était en 1985. Un acteur nommé Reagan cabotinait à la Maison-Blanche, encourageant les films d’action dopés aux hormones de croissance et à l’impérialisme.

C’était, surtout, le cinéma commercial d’avant la prise de pouvoir des effets numériques. En à peine plus d’une décennie, ce type de cinéma d’action a en effet été ghettoïsé par le succès des images de synthèse, en vidéo puis en DVD. Et si les noms de Schwarzenegger, Rourke ou Willis (présents dans les deux uniques moments d’autodérision d’Expendables) disent encore quelque chose au commun des mortels, ceux d’Eric Roberts, Dolph Lundgren, Steve Austin ou Randy Couture font partie des plaisirs coupables d’une frange du public qui suit leurs exploits dans les vidéoclubs.

4 pages dans le numéro été de Chronic'Art
rien d'extraordinaire
http://www.journaux.fr/chronicart_generaliste_art-et-culture_90841.html

Pour les anglophones et les apprentis cinéastes, un très bon article dans le fameux magazine professionel American Cinematographer (autour des chefs opérateurs/directeurs de la photo)
http://www.nxtbook.com/nxtbooks/ac/ac0910/?ap=1#/52